jeudi 25 septembre 2014

22 millions de personnes chassées par les catastrophes naturelles

La semaine dernière la France a été victime de nombreuses intempéries dans la Sud/Sud-Est du Pays.

En 2013, on a dénombré 22 millions de personnes déplacées à cause des catastrophes naturelles alors que les personnes en conflit de guerre n’ont été que 8,2 millions à se réfugier ailleurs. Trois fois plus donc. Des chiffres qui inquiètent certainement les plus hautes instances internationales.



La situation serait critique. La concentration en milieu urbain menace de plus en plus d’individus en raison d’une trop forte démographie. Principalement touchés, les pays en voie de développement voient de plus en plus de personnes affectées par les aléas climatiques. Inondations, tremblements de terre, tempêtes ou cyclones menacent ainsi de plus en plus les populations humaines. Et comme en général ces catastrophes touchent d’abord les villes, les populations les plus concernées sont celles urbaines. Il est donc important de trouver rapidement des solutions à l’aménagement urbain mondial pour éviter ces mouvements importants de personnes. En Asie, le super-typhon Haiyan qui a frappé les Philippines a ainsi causé le déplacement de 4,1 millions de personnes. Au Vietnam, c’était 800 000 personnes qui étaient concernées. En Afrique, même constat toujours autant de personnes déplacées. Et pourtant, dans moins de 50 ans la population en Afrique risque de doubler. Une perspective plus alarmiste pour l’avenir des déplacements à cause des catastrophes naturelles.

Mais il n’y a pas que les pays pauvres qui sont concernés. Les pays riches eux aussi ont droit à leurs exodes massifs. Le typhon Man-yi au Japon a fait fuir 260 000 personnes, les tornades en Oklahoma 218 500 personnes, les inondations au Canada 120 000. La concentration dans les villes est devenue un problème mondial.

jeudi 18 septembre 2014

Bébé et allergies aux animaux

C’est sûrement la question qui taraude les nouveaux parents ! Qui de bébé ou de Médor aura les faveurs de la nouvelle maisonnée. Si la réponse reste sans équivoque, les deux ne seraient pas pour autant incompatibles.



C’est en tous les cas la question sur laquelle se sont penchés des chercheurs allemands et dont les résultats ont été présentés au cours du congrès de pneumologie à Munich. Une étude aux résultats édifiants, puisque selon celle-ci, la présence d’un animal réduit de 79% le risque pour l’enfant de développer des maladies respiratoires. Explications. Si un nourrisson de moins de 3 mois vit au contact d’un animal, de bactéries ou encore de moisissures, son système immunitaire s’adapte plus facilement au milieu qui l’entoure. Résultat pour les animaux, à l’âge de 6 ans, un enfant a par exemple moins de chance d’avoir de l’asthme. Menée sur 2500 enfants sur 10 ans, cette étude montre ainsi que c’est le milieu dans lequel on vit les premières années qui détermine l’évolution de notre santé. Un facteur allergène à l’existence probable... Les auteurs de la recherche ne préconisent toutefois pas de faire dormir son bébé avec un animal à fourrure. Le mieux étant selon eux de placer une étoffe de fourrure trouvée dans les magasins bios. Le risque potentiel de transmission de maladies reste en effet trop important pour courir le risque. Toutefois, le facteur allergène qui selon plusieurs études prémunirait certains enfants au contact d’animaux à certaines allergie n’est toujours pas identifié.

mardi 16 septembre 2014

Ma rentrée scolaire côté vert !

Septembre vient tout juste de sonner et il est grand temps de rejoindre les bancs de l’école. Une idée certes peu réjouissante pour certains mais à laquelle on ne peut échapper. Voici notre liste de conseils pour rester écologique tout en allant à l’école, parce que l’environnement c’est aussi un combat quotidien !



Tout comme dans la vie de tous les jours, l’école peut également se voir appliquer le principe du Reuse, Reduce & Recycle. Une solution adaptée aussi bien pour l’environnement que pour nos portefeuilles. On vérifie ainsi l’état de nos fournitures de l’année passée et si c’est possible on les reprend pour la nouvelle année. La chasse au gaspillage c’est maintenant ! Livres d’occasions ou livres neufs ? Dans certains cas, acheter de nouveaux manuels ne sera pas forcément nécessaire. Pour cela, des livres déjà utilisés trouvés chez le libraire du coin ou chez le brocanteur ou encore auprès du lycée ou d’autres particuliers feront très bien l’affaire. Ainsi au lieu d’en acheter des neufs et encourager ainsi la production de nouveaux papiers, on pense malin pour l’environnement. Qui a dit qu’on devait forcément remplir le parking de l’école avec des voitures ? Et oui d’autres solutions existent pour s’y rendre tous les matins que ce soit par les transports en commun, en vélo ou à pied de quoi fournir un peu d’exercice physique. Et sinon le covoiturage peut également être une solution pratique pour tous !

vendredi 5 septembre 2014

Quand GoPro veut filmer la vie de nos chiens !

Après s’être attaqué à tous les moments les plus intenses de nos vies, GoPro s’attaque désormais à la vie de nos chiens. Une idée qui se veut original grâce au nouvel harnais Fetch. Après le simulateur de vie de chien sur console, pourquoi ne pas s’essayer carrément à vivre la vie de nos amis poilus. C’est la brillante idée et certainement celle qui va inonder Youtube de nouvelles vidéos. Le constructeur de caméras portatives GoPro vient de mettre sur le marché Fetch: un harnais adaptable à quasiment toutes les races de chien pour fixer sur leur dos une caméra GoPro.





Une idée sympa qui va permettre à tous les propriétaires de chien de voir le monde tel que le voit leur animal de compagnie. Des Mini-prix pour grandes aventures ! Disponible à partir de 45 euros, Fetch s’adapte pour les chiens de 7 à 54 kilos. Soit une fourchette importante pour s’adapter à votre animal sur quatre pattes préféré. Pour la suite, il suffit d’adapter une caméra de la marque sur le harnais et c’est parti pour l’aventure. Depuis votre salon vous pourrez ainsi suivre toutes les péripéties de votre chien peu importe l’endroit où il fourre son museau. Conçu pour s’adapter parfaitement à la physionomie de nos amis canins, le harnais Fetch sait aussi s’adapter au milieu dans lesquels ils évoluent. Une idée originale, même sympa qui va certainement nous ouvrir de nouveaux horizons !